Marvel's Daredevil

L'addiction est proche

C'est l'histoire d'un mec devenu aveugle car il a sauvé un homme d'un accident de la route quand il avait 9 ans (balèze). Du coup, il a extra-développé tous ses autres sens en grandissant (encore plus balèze). Maintenant ? Et bien il est avocat dans le quartier le plus chaud patate de New-York. Mais ça c'est le jour. La nuit, c'est un super justicier. (voilà voilà. #mavieestnulle.)

Détrompez-vous : c'est pas parce qu'il y a des gentils, des méchants et un defender que cette série est pour les ados. Au contraire. Déjà à la base, Daredevil était un héros phare des Marvel Comics, ça vous plante le décor… Le célèbre studio et Netflix se sont donc associés pour créer une série qui ne déroge rien aux règles de l’art: un univers sombre à la Sin City, une branche ultra réaliste, des chorées de baston à vous scotcher sur le canap', des intrigues bien ficelées... Comme nous, vous allez vite fait vous enfiler la saison 1 disponible uniquement sur Netflix, on vous l'dit. Pourquoi ? Parce que c'est addictif, point à la ligne.

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Dans les coulisses de... (Marvel's Daredevil)

Souvent, quand on mate une série, on aimerait bien avoir le réal’ ou l'un des acteurs juste à côté pour nous refiler les dessous du tournage. Ça donnerait quelque chose du genre : "Comment vous avez fait cette cascade ? Et c'est facile de pleurer pour de faux ? Et là tu as VRAIMENT bu un whisky cul-sec ?" En attendant de devenir copains avec Scorsese, on est allé tirer les vers du nez à Charlie Cox, Élodie Yung et Jon Bernthal à l'avant-première de Marvel's Daredevil, saison 2. Classe, on sait.

La première chose qu'on peut vous dire, c'est que Cox est un type qui ne perd pas le Nord. Après l'avoir vu jouer les justiciers new-yorkais pendant toute une saison, on lui a demandé qui était son héros à lui. Et bien...c'est Thierry Henry. Ouais. Pendant le tournage de Boardwalk Empire, l'ami Cox en a rencontré du beau monde - Robert de Niro par exemple. Mais c'est le bon vieux Thierry qui lui a fait de l'effet.
On a également demandé à Élodie Yung comment elle avait décroché le rôle d'Elektra. Tout simplement, en regardant le big boss de Marvel droit dans les yeux en disant "I can kick your ass".
Plus sérieusement, Cox nous a teasé sur l'évolution de son personnage, enfin réconcilié avec son alias nocturne. C’est donc un Daredevil un peu plus sûr de lui, presque un peu arrogant, qui apparaît dans la saison 2. Un justicier bien dans son costume en somme.
Jon, lui, nous a raconté sa rencontre avec les fans du comics, des gens brillants et passionnés, dont il a beaucoup appris pour construire le personnage du Punisher. “Le tout, dit-il, c’est de se fier au script”.
Élodie quant à elle, nous a presque spoilé sur la relation Elektra/Daredevil... que Charlie Cox résumait très bien ainsi : “On a tous eu une Elektra dans notre vie. Une période dont on est à la fois reconnaissant qu’elle ait existé et qu’elle soit finie”.
Résultat : une saison 2 binge-watchée jusqu'au dernier cliffhanger.