Bloodline
La Minute Imposteur : Bloodline
Une minute pour parler d'une série comme si on l'avait vue, en mieux.
Parce que 13 épisodes d’une heure, c’est long à rattraper si vos potes sont déjà tous en train de regarder la saison 2, on vous débriefe la saison 1 de Bloodline. De rien.
Le pitch (spoiler alert) :
Tout baigne chez les Rayburn qui se préparent à fêter comme il se doit le 45ème anniversaire de leur hôtel familial : Floride, beach & sunrise. C’est alors que Danny, le fils aîné, se tape l’incruste façon Maléfique au baptême de la Belle au Bois Dormant. L’ambiance tourne vite au vinaigre tandis que les cachotteries des uns et des autres éclatent au grand jour, et ça se finit en AAAARGH - PLOUF - BOUM lorsque le cadet John se débarrasse de Danny.
L'info utile :
La série a été créée par les auteurs de Damages : Todd A. Kessler, Glenn Kessler, et Daniel Zelman. Si vous êtes fans, vous allez à nouveau kiffer les rebondissements, les flashbacks et les flashforwards. En revanche, on vous déconseille fortement la série si vous n’êtes pas prêt à y laisser quelques nuits blanches et que vous détestez les plages paradisiaques.
La punchline ultime :
« Nous étions une famille sans histoire, ou presque » John Rayburn
La scène culte :
Celle qui occupe les 2 dernières minutes de la saison : les Rayburns dînent tranquillement en famille lorsqu’un ado débarque à l’improviste et se révèle être… Danny Rayburn junior. À voir rien que pour la tête de tonton John-le-fratricide (sous-titre : « Oups »).
Le personnage pas si secondaire :
On hésite entre Robert, le patriarche qui se la joue vieux sage alors qu’il traîne lui aussi de sacrées valises, et Nolan, le fils de Danny sans qui il n’y aurait probablement jamais eu de saison 2.
Tel père, tel fils donc ? Pour le savoir, regardez Bloodline Saison 2 avec votre mois d’essai gratuit sur Netflix.